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 Une journée normale, mais fatigante. [Libre]

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Byakuya Satake
Byakuya Satake

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Une journée normale, mais fatigante. [Libre] Vide
MessageSujet: Une journée normale, mais fatigante. [Libre]   Une journée normale, mais fatigante. [Libre] Icon_minitimeLun 1 Avr - 15:32

  • Journée effrayante que celle qui allait se dérouler cette fois-ci. Effrayante dans sa lenteur, dans sa banalité et dans sa pauvreté en sensation fortes – pas même le sentiment d'avoir été utile à la cause de son village. L'enfant du Nord n'en ressortirait qu'un peu plus démoralisé, même si cet état ne resterait que passager. Et qu'il avait quand même mit tous ses efforts au service de sa bonne humeur pour donner le sourire à tous ceux qu'il croisait. Alors, cette journée ? Elle avait commencé par quelques affaires habituelles, un réveil très matinal, mais pas forcé. Il avait l'habitude depuis des lustres de se lever de bonnes heures. Avant, c'était pour nourrir les bêtes dans leur enclos avant que celles-ci ne commencent la journée. Maintenant, c'était juste pour profiter du peu de fraicheur qu'il pouvait avoir en début de journée, dans le village caché de Suna. Il flânait. La honte le saisit un peu quand ce mot s'imposa à son esprit. Se balader, se promener... Il n'avait jamais fait cela devant tout le monde, c'étaient toujours des escapades nocturnes ou alors qu'il avait fini un peu tôt son travail et qu'il pouvait s'autoriser à disparaître mystérieusement quelques temps, jamais plus d'une heure. Alors voilà, il était allé jusqu'à l'entré du village, alors que le Soleil pointait à peine. Il ne s'aventurait jamais très loin des murailles protectrices, par peur de se faire surprendre par une tempête ou par sa distraction qui lui ferait oublier son chemin. Mais les dunes et le paysage si rapidement sauvage lui donnait vraiment l'impression d'être loin, très loin. Dans un autre monde. Il s'allongeait dans le creux d'une dune et se laissait aller à une contemplation du ciel. Quelques étoiles persistaient encore dans un ciel qui rosissait. Magnifique dégradé... L'air sentait une odeur délicieuse, mélangeant pleine nature et résidu d'une nuit qui se finissait. Il pensait à son rêve : Il allait, avec sa fidèle marionnette à ses côtés. Il ne lui avait toujours pas trouvée de nom. Peut-être parce qu'il n'avait pas finie de la fabriquer. Il y mettait du temps, sélectionnant avec sévérité les éléments qui la composaient. Il voulait que ce soit la plus belle de toutes les marionnettes. Une tâche ardue quand on connaissait tous les maitres dans l'art que Suna renfermait, malgré que le village vient a peine d'être créer. Mais il était confiant, il avait un maitre aussi surprenant qu'admirable. Enfin, maitre était un bien grand mot. Mais n'était-ce pas lui qui l'avait conduit jusque sur les pas de Suna, sur les pas de son destin ?

    Quelques temps s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce que le Soleil commence à l'engourdir. Il ne craignait pas d'avoir des coups de Soleil, sa peau trop hâlée déjà aurait fait bouclier contre ceux-ci ; mais plutôt que ses membres se retrouvent fondus dans cette dune de sable et qu'il ne puisse plus s'en échapper. Peur superstitieux, un peu. Il se relevait alors, avec une ardeur moins prononcé qu'à l'aller. Le Soleil y étant pour cause. Cependant, repassées les murailles gigantesques de la ville et retrouvé cette ombre réconfortante, son enthousiasme reprenait. Il s’entêtait à murmurer les premières paroles d’une chanson dont il avait déjà oublié jusqu’à la signification même, ne se préoccupant que de cet air enivrant qui caressait son âme. Il avait pris la résolution très tôt ce matin, avant même de se lever pour débuter la journée, qu’il irait accomplir dûment son devoir envers ce pays qui l’avait abrité toute sa vie. Et qui le protégeait continuellement de toutes ces menaces extérieures. Que pouvait-il bien faire à son niveau ? Il y avait longuement réfléchi. Et ne s’étant pas sentie prêt à passer une nouvelle fois la grille de l’académie pour aller y enseigner quelques subtilité de l’art ninja qu’il ne pensait pas maitriser très bien – fausses idées cependant, puisque très vite récompensée de tous ses efforts et ses facilités dans certains domaines par quelques promotions rapides et gonflante d’orgueil –, il avait choisi la voie plus aisée des missions. Il se rendait donc, d’un pas léger et sautillant, vers cette immense bâtisse qui l’impressionnait toujours un peu. L’abri d’un être fascinant. Son seul, son unique, son délicat amour y vivait presque en permanence. Ce n’était pas de cet amour impropre qu’éprouvaient bien des femmes de ce monde, simple désir corporel ou de poésie – appartenance ou dépendance comprises. Elle était là quelque chose de plus simple, mais de combien plus profond. Il voulait la faire rire, le faire chanter. L’aimer d’une façon admirative et passionné. Sans contact, sans toucher. Juste un regard à demi caché, quelques paroles à peine prononcées. Son esprit vierge de toute autre tentation à l’égard de cet être exceptionnel ne voyait pas d’autre façon d’aimer plus juste que de souhaiter le simple bonheur de cet être chérie et de lui rendre la tâche plus aisé non pas sur un instant bien précis mais dans la duré : pas d’amour un soir perdu, mais une vie telle qu’elle en rêvait.

    Et c’était sur ses pensés, toujours pleine de cette même appréhension de le voir pour de vrai, qu’il était entré dans les bureaux administratifs de Suna, avait franchie et quelques temps tout l’espace qui le séparait de l’endroit où l’on recevait les missions et s’était présenté. Un peu de déception cependant en constatant que celui qu’il attendait était absente. L’heure sans doute ? Il n’aurait pas dû se presser tant de rentrer s’abriter dans les murs de la ville ce matin-là… Il n’aurait pas dû s’hâter de gravir les escaliers du bâtiment… Peut-être cela l'aurait laissé le temps, à son amour cachée, de sortir de sa nuit et d’aller voler à sa rencontre… Son esprit s’emmêlait. Il se voyait prince d’une quelconque contrée. Dansant, voletant, dans les bras de sa compagne. Mais elle ne venait pas seulement pour elle… Etill fallait abandonner tous ses rêves pour faire face à cette dure réalité. D’autres choses l’occupaient. Des choses bien plus grandes que sa simple personne de petit apprenti marionnettiste. Oh, après tout, il ne convoitait que cet au sommet de Suna ! Un sourire amusé de sa propre bêtise coupa son visage, et il rougit légèrement de ses histoires de garnement innocent. Depuis quand s’était-il mit à songer à une vie oisive et d’amour propre ? A la réflexion, dès qu’il avait posé les pieds dans la grande capitale, il avait su qu’il le chérirait de toute son âme. C’était différent, se répétait-il. Et il rougit de plus belle. Sa grande aspiration du moment était de s’hisser jusqu’à la garde – très – rapprochée de l'empereur, vu qui y' a pas de chef. Et pour cela : missions, missions, missions. Il revint ainsi à l’instant présent, finissant de remplir les quelques formalités qui la séparaient de sa tâche à accomplir pour ensuite s’évader du lieu et, tout heureux que sa journée soit par avance remplie, gambader vers cette maison, et notamment ce jardin, qui n’attendaient que ses soins.

    Ce n’était pas de ces missions de très haut niveau requérant de grandes capacités shinobi, où une qualité de réflexion hors norme. Mais c’était cependant un plaisir tout égal de pouvoir venir en aide à la population. Quoique, ces temps-ci le goût amer de l’ennui lui remplissait le cœur. Ces missions commençaient à perdre tout leur attrait aux yeux de l'homme. Il désirait entrer dans la cours des grands, explorer de nouveaux horizons, resplendir par le prestige des tâches qu’on lui confiait. Et éprouver aussi ce sentiment violent d’adrénaline. Des risques, un danger palpable. Son cœur s’emballait sous sa musculature. Oh, qu’il y rêvait maintenant… Il traversa sans encombre toute l’étendue de rue qui la séparait du lieu de sa mission et, gagnant ainsi une extrémité paisible de la ville, put rejoindre dans les plus brefs délais la petite maisonnette abritée dans un creux d’ombre et son petit jardin qu’on tentait d’entretenir tant bien que mal face au climat capricieux. Il s’arrêtait là, restant dans ses pensées devant la vu qui s’offrait à ses yeux. D’un premier regard, il aurait simplement dit qu’il s’agissait d’une maison au passé long et fournis en habitants. D’une même famille dirait-il. Cela ressemblait à un de ces havres de paix qui avaient su traverser les années et leur dureté, et qui après tout ce temps trouvaient un peu de réconfort auprès de leurs derniers propriétaires qui tentaient toujours vainement d’entretenir ce passage de leur existence passée. Il se conforta dans cette idée quand, sans qu’il ne sache comment il avait su qu’il était là, un vieil homme sortit de l’habitation pour venir le saluer d’un air vaguement joyeux. Ses yeux fuyaient un peu, signe d’une vieillesse qui s’installait. Et puis, son imaginaire débordant encore une fois, il se vit quelques années plus tôt, à la même place devant cette barrière de bois usée ; mais tout avait rajeunit. Sortaient de cette maison non pas un vieillard fébrile mais toute une farandole d’enfants. Heureux. Et il pensa à ses propres frères et sœurs. Oh… Qu’il aurait aimé les revoir très prochainement… Mais où étaient-ils à présent ? Il nota dans une parcelle de son esprit que dès ce soit il irait leur écrire. La communication lui couterait cher sans doute, mais il ne pouvait rester sans rien faire si loin d’eux. Et aussi, dès qu’il serait plus gradé, il demanderait un jour ou deux pour pouvoir aller leur rendre visite en personne. Qu’ils seraient fiers de lui…

    Le vieil homme s’avançant doucement vers lui, l’enfant s’élança vers lui avec une ardeur toute retrouvé. Et ses yeux flamboyant d’une joie interminable, il lui prit la main avec sollicitude, se courbant légèrement en une pause de respect. Il avait appris les bonnes manières et même si parfois ils étaient déplacés par rapport à son environnement, il les utilisait toujours. Et puis, il n’était pas avare au point de se réduire au minimum de politesse. Il la salua à son tour, la remerciant immédiatement de s’être déplacé pour lui. Il accompagna ses mots d’une explication balbutié sur son apparition soudaine au pas de sa porte. Il n’avait pas voulu le déranger dans sa contemplation de son humble demeure, mais l’ayant aperçue par les interstices de ses rideaux, il n’avait pu refreiner l’envie d’aller à sa rencontre. L’enfant du Nord sourit gentiment à ces quelques paroles. Il était rassuré aussi de ne pas être venue trop tôt et d’avoir chamboulé le quotidien paisible de cet homme. Après quelques autres civilités, il l’accompagna à l’intérieur lui présenter rapidement les lieux – ce qu’il trouva comme fort étrange – pour ensuite l’emmener sur ledit chantier de sa mission. Tout ceci s’était fait avec la lenteur de la marche du bonhomme très appliqué, et bien qu’il ne se départît pas de son sourire et rît devant ses pauvres tentatives de blagues, l’ennui le gagnait de nouveau. Il devrait supporter les histoires redondantes de son interlocuteur tout au long de son travail et, qui savait, peut-être même qu’après il l’inviterait à boire un verre avec lui pour finir de lui conter ses fables. Alors, rapidement et avec l’énergie du désespoir, il saisit les armes de jardinage qui étaient à sa disposition et s’enquit de toute l’étendue de la tâche à accomplir pour s’y mettre au plus vite. Il aimait bien le jardinage, c’était à la fois reposant et pleinement éprouvant. Surtout sous le Soleil impérieux de Suna. Le vieux avait saisi une chaise à bascule et s’était assis dans un coin de son domaine, pour continuer de parler tout en lui donnant quelques directives parfois, d’une voix molle et instable. Byakuya, bercée par cette voix grave, s’était surprit à se laisser aller à une réflexion incorrecte si il avait pensé de vive voix : Qu’était-il censé faire si ce vieux morceau de chair qui se basculait dans son dos venait à perdre la vie en sa présence. L’accuserait-on ? Devant l’innocence de ses yeux et toute la panique que cela provoquerait chez lui, il ne pensait pas. Peut-être cela serait-il juste inscrit dans le dossier relatif à ses missions. Mais tout de même, cela l’inquiétait… Ainsi passa le temps dans ce jardin : lentement et avec difficulté. L’un parlant tout seul – ou du moins à quelqu’un qui ne l’écoutait que vaguement, hochant parfois la tête avec insistance – et l’autre s’appliquant à redonner vie à un jardin dont personne ne s’occuperait plus lorsqu’il s’échapperait.

    Il ne s’était pas écoulé une heure déjà que quelques courbatures, notamment au niveau des muscles rejoignant le dos au cou, se firent sentir. Il n’avait guère plus l’habitude de se laisser aller à des activités qui nécessitaient qu’il soit penché en permanence sur un mètre. De plus, le Soleil tapait de plus en plus sur ses épaules, et bien qu’il se soit allégé d’une partie de ses vêtements déjà, la chaleur se faisait étouffante. Aussi Byakuya s’accorda-t-il une pause, prenant appui sur un râteau usé par l’âge, et parcourant d’un regard son travail déjà accompli. Il avait absolument retourné toute la terre du jardin, mettant de côté, dans des pots en terre cuite, toutes les plantes encore en bonne santé qu’il pouvait et devait garder pour les replanter par la suite. Le plus gros de son travail avait consisté en arracher toutes les herbes folles qui s’étaient glissées entre les plants sains et certaines étant aussi solides que des lianes, il s’était quelque peu rougit les mains. L’homme s’excusa dans son dos de son manque de civilité, mais qu’il lui fallait rentrer à l’ombre de sa demeure pour y manger et s’y endormir, le temps ne lui étant plus favorable, compte tenu de son âge… Il lui répondit poliment, se retournant vers lui pour constater que sans attendre sa réponse il venait de se glisser à l’intérieur. L’enfant soupira, et d’aise, et de désespoir. L’un car son départ signifiait aussi la fin de toutes ces histoires harassantes, et l’autre parce qu’il en avait bien de la chance de ne plus devoir supporter cet affreux Soleil…

    La tâche reprit ainsi, avec plus de variante cependant, puisque sa liberté d’action s’était grandement amélioré maintenant que l’autre homme s’était en allé. Ses pensées allaient bon train, alors qu’il finissait de ratisser, pour ensuite s’occuper de délimiter les zones fleuries comme sur l’antique schéma qu’avait sorti dans un moment de lucidité le vieil homme. Antique schéma qui cependant offrait un aperçu clair et précis de l’état du jardin avant sa décadence. Ils avaient une belle maison ceux qui y avaient habités… Byakuya se demanda dans un moment de flottement s’ils n’avaient pas appartenus à une haute lignée de la nation… Ce qui expliquerait pourquoi on avait accordé crédit à sa demande de mission… Mais ne venant pas de la capitale, l'homme ne connaissait pas du tout les grandes figures du milieu et il ne put répondre à sa propre question. N’étant toutefois pas une question vitale, il s’en accommoderait facilement. Et sous la lourdeur de l’atmosphère il finit peu à peu chacune des étapes de restauration d’un jardin. Parfois certaines plantes lui étaient inconnues, et il courrait jusqu’au manuel qu’il avait transporté avec il jusqu’ici, pour savoir de quoi il s’agissait et comment il fallait s’en occuper. Cela lui rappelait aussi ses promenades en pleine nature, la délicieuse odeur des fleurs, la sélection très sévère des éléments « dignes » de figurer parmi son arsenal de fabrication de marionnette. Tant de moments volés à son ancienne vie.

    Il lui fallut encore deux bonnes heures pour achever son travail. Mais ce ne fut pas sans satisfaction de pouvoir se relever, les épaules toutes endolories, de ranger l’outillage et de pouvoir enfin contempler un jardin refait à neuf, à l’allure magnifique. Il y avait ajouté, ne respectant donc pas totalement le schéma de base, un petit sillon à peine visible qui serpentait joliment entre les plants les plus fragiles dans lequel reposait un tuyau hermétique percé juste aux endroits qu’il fallait. Cela faciliterait ainsi grandement l’arrosage des plantes. Surtout que l’être habitant cette maison se faisant vieux, il n’aurait plus à se baisser pour arroser chacune des fleurs unes à unes. Il s’épongea le front, récupéra ses affaires qui trainaient et entra dans la maisonnette. L’air y était déjà nettement plus respirable et il s’accorda un soupir de soulagement une fois passé le pas de la porte. Mais, ses yeux ayant rapidement fait le tour de la pièce, il sut tout de suite que le vieux dormait dans sa chambre et qu’il ne pourrait pas le déranger pour lui dire qu’il avait terminé. Après cela n’avaient été que ses propres mots… Un bout de déception finissant de germer dans son esprit, il ne tarda pas à s’en aller, comme il était arrivé. Toutefois, il avait laissé un petit mot à l’unique habitant des lieux lui résumant la situation brièvement et lui faisant part de tous ses encouragements pour la suite. Quelle suite ? Il ne savait pas trop… Qu’est-ce qu’un homme seul et sur sa fin pouvait faire ? La porte d’entrée une fois refermée, il oublia un peu tout cela, même si il était un peu démoralisé d’avoir passé autant de temps sous un Soleil cuisant elle restait satisfaite d’avoir tout accompli avec le plus grand soin. Et sans plus attendre, il se mit en quête de son petit appartement, pour répondre à toutes les promesses qu’il s’était fait envers sa petite famille qui l’attendait dans le Nord.

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